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3 mars 2017

Printemps des poètes:les Turcs

https://www.google.be/?gfe_rd=cr&ei=NVjJWIjCIrHH8AfLl7b4Cg&gws_rd=ssl#q=po%C3%A8tes+turcs

NazimHikmetRan

Nâzım Hikmet Ran

 (prononcé [na:.'zeɯm hik.'mɛt], né le 21 novembre 1901 à Salonique, et mort le 3 juin 1963 à Moscou, est un poète turc, puis citoyen polonais, longtemps exilé à l'étranger pour avoir été membre du parti communiste de Turquie.

Son grand-père paternel, Mehmed Nâzım Pacha, était le gouverneur de Salonique, libéral et poète. Son père, Hikmet, diplômé du lycée de Galatasaray (qui s'appelait alors Mekteb-i Sultani) était fonctionnaire. Sa mère, Celile Hanım, linguiste et pédagogue, fille d'Hasan Enver Pasha (tr), parlait français, jouait du piano et peignait

Nâzım Hikmet est l'une des plus importantes figures de la littérature turque du XXe siècle, et l'un des premiers poètes turcs à utiliser des vers libres comme le fit Orhan Veli. Hikmet est devenu, de son vivant, l'un des poètes turcs les plus connus en Occident et ses travaux ont été traduits dans plus de cinquante langues.

Cependant, dans son propre pays, il fut condamné pour marxisme et demeura en Turquie, même après sa mort, un personnage controversé. Il passa quelque quinze années en prison et baptisa la poésie le plus sanglant des arts. Ses écrits soulignent la critique sociale.

Nâzım Hikmet est né à Salonique (actuellement Thessalonique en Grèce). Il écrit son premier poème Le cri de la Patrie en 1913. Il étudie brièvement au lycée francophone Galatasaray à Istanbul et entre en 1915 à l'école navale turque jusqu'en 1919 où il est réformé après son premier embarquement en raison de son état de santé. Son premier poème est publié en 1918 dans la Revue Yeni Mecmua, intitulé Pleurent-ils aussi sous les cyprès ?. Ses parents divorcent en 1919.

« Bakkal Karabet'in ışıkları yanmış Affetmedi bu Ermeni vatandaş Kürt dağlarında babasının kesilmesini. Fakat seviyor seni, Çünkü sen de affetmedin Bu karayı sürenleri Türk halkının alnına. »

« Les lampes de l'épicier Karabet sont allumées, Le citoyen arménien n'a jamais pardonné Que l'on ait égorgé son père Sur la montagne kurde Mais il t'aime, Parce que toi non plus tu n'as pas pardonné À ceux qui ont marqué de cette tache noire Le front du peuple turc. »

http://www.babelio.com/auteur/Nazim-Hikmet/44180

 

 

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Mehmet Âkif Ersoy (1873-1936) est un poète turc. Il est le père de l'hymne national turc, İstiklâl Marşı.

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C4%B0stikl%C3%A2l_Mar%C5%9F%C4%B1

Poète turc d'origine albanaise, il a écrit l'hymne national de son pays, l'İstiklâl Marşı ou « marche de l'indépendance ». Il est à l'origine de poèmes populaires en réalisant la fusion de la langue quotidienne avec le genre poétique. Il est né à Istanbul, et est mort dans la même ville le 27 décembre 1936. Sa dépouille est enterrée à Burdur. Son père, qui était enseignant dans une medrese (école coranique), l'a nommé « Rağıyf », notant la date de sa naissance d'après le code d'ebced : (la disposition des lettres de l'alphabet arabe sous une forme ancienne où chaque lettre représentait un chiffre) ; toutefois, puisque ce mot inventé artificiellement n'a été compris par personne, on le nomma « Akif ». Son père vient du village de Şuşişe (Albanie), et sa mère est originaire de Buhara.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mehmet_Akif_Ersoy

 

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Bâkî (باقى) est le nom de plume du poète turc Mahmud Abdülbâkî (محمود عبدالباقى), né en 1526 et mort en 1600[N 1]. Considéré comme l'un des plus grands contributeurs de la littérature turque, Bâkî est également connu comme Sultânüş-şuarâ (سلطان الشعرا), ou « Sultan des poètes[2] ».

Bâkî naît en 1526 dans une famille pauvre de Constantinople, son père étant muezzin à la mosquée Fatih[2]. Il est en apprentissage par sa famille pour devenir sellier[2], mais il manque fréquemment pour suivre des cours dans une médersa proche ou dans une école coranique. Repéré par des lettrés qui fréquentaient son atelier et avec l'aval de sa famille, il intègre finalement cette école de façon formelle[N 2]. Bien que ces études étaient destinées à former des docteurs de l'Islam, elles ne portaient pas que sur les aspects exclusivement liés à la religion, mais également sur l'arabe et le persan, ainsi que sur la littérature classique, en particulier sur la poésie savante. C'est ainsi qu'en plus de sa formation théologique et juridique, il peut s'adonner à sa vocation grâce à une culture poétique très enrichie[2]. Bâkî est un bon élève, et il suit les cours de plusieurs maîtres de conférence célèbres de l'époque. C'est lors de sa scolarité que son intérêt et son talent pour la poésie commence à prendre forme, bien aidé par le poète Zâtî (ذاتی) (1471–1546).

Grâce à ce dernier, l'ambitieux Bâkî devient le compagnon et poète favori de Soliman le Magnifique[N 3] et müderris (professeur de haut rang) à la mosquée de Mourad pacha[3]. Le souverain, également poète, lui commande plusieurs répliques, suivant le même sujet et la même métrique de ses propres compositions — c'est ainsi qu'il devient le « sultan des poètes », tandis que Soliman lui-même l'appelle « premier poète des Ottomans[4] ». L'amour de Dieu, du Prophète, des éphèbes, l'ivresse mystique, celle du vin : autant de thème classiques de la poésie de cour qu'il maîtrisait avec brio. Bâkî est admiré pour ses vers aux multiples sens que ces thèmes ambigus facilitent et qui sont encore débattus[3].

http://www.universalis.fr/encyclopedie/baki-ul-baki/2-le-poete-du-sultan/

Interressées -> https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Po%C3%A8te_turc

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