A-E: Devenir écrivain°1 Le chalet

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alizé (vent), noyer, poussiéreux, injure, silence, goûter, cèdre, tracer, brusque, opaque.

Vous avez le droit de conjuguer les verbes, d'ajouter un pluriel, de changer le genre, etc. et vous n'êtes pas obligé de les insérer dans l'ordre.

LE CHALET

Il faisait extrêmement froid le brouillard était opaque, il avançait d’un pas ferme, cette grande forêt de cèdres était n véritable labyrinthe.

Il cherchait désespérément le chemin qu’il avait tracé en venant mais la neige en avait dèjà recouvert les empreintes.

Mais où était ce chalet !!! Ses injures retentirent entre les sapins, les bras chargés de bois il avançait contre le vent, l’alizé, devenait glacial il devenait pressant de retrouver son chemin, la nuit allait tomber et les températures allaient chuter comme la nuit précédente.

Il était venu se perdre dans ce vieux petit chalet qui appartenait jadis à son grand-père, celui-ci l’occupait  durant la période de chasse. Il espérait y  trouver la paix, les derniers mois avaient été épuisants psychologiquement ; décès de ses parents en l’espace de 4mois sans compter le départ de sa femme….il ne voulait pas rester ‘dans ses murs » pour les fêtes.

Il avait donc décidé de passer ses jours »pompeux »au calme ;repos un peu de lecture et surtout réfléchir à l’avenir…un nouveau départ ?

Soudain, brisant le silence un écureuil descendit d’un arbre et passa devant lui, L’homme le suivit et au bout du chemin il arriva à ne clairière et reconnut n banc qui s’il avait bonne mémoire, se situait pas loin de sa petite habitation ! Soulagé,  il se fia à son instinct et prit le petit chemin, enfin il commença à apercevoir un toit recouvert d’une épaisse couche de neige il accéléra le pas et rentra chez lui en fermant brusquement la porte les bras chargés et éreinté.

Il se pressa de déposer les bûches et d’attiser le feu presque endormi dans la cheminée, il y déposât  du bois et alla préparer un petit goûter tout simple ;Il rempli ne petite cafetière de lait coupât trois tranches de pain, les beurra et déposât l’ensemble sur ne assiette.

Il fit chauffer le lait sur la grille dans la cheminée, rangeât ses vêtements et attrapât son gros gilet ; en déposant sa montre sur le meuble poussiéreux, ses yeux se posèrent sur la photo de ses grands-parents affichant fièrement leur butin de chasse un grand cerf dont la tète trônait au-dessus de la cheminée.

Il prit enfin place dans le fauteuil près du foyer, et commença à manger, savourant le bon goût du pain beurré, et enveloppât la tasse de ses main afin de se réchauffer et but lentement noyant son regard dans les flammes vives.

Doucement il sombra dans le sommeil, cette première journée l’avait vidé; Demain il pensera à son avenir..Mais maintenant seuls le calme et la douce chaleur à ses cotés lui sont indispensables.

Comments

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Magnifique texte, Assoula ! J'♥ ! Bises♥